lundi 21 juillet 2014

LA FIN D'UNE HISTOIRE INTREPIDE

UN NOUVEAU SOUFFLE ici

Après 3 ans sur ce blog, j'ai eu envie de changer pour un tout nouveau tout neuf, qui me corresponde mieux!
On change beaucoup en 3 ans, j'espère que ce nouveau souffle saura tout autant vous divertir !
Merci pour ces 48 000 visites depuis sa création, n'oubliez pas de suivre mon nouveau blog
:-)


http://shaketonshakespeare.blogspot.fr/


mercredi 2 juillet 2014

HUMEUR - ces modes écolières qui ne font qu'un temps mais qui nous marquent



Dernièrement, je me faisais la réflexion avec un ami, que les modes écolières passent mais ne disparaissent jamais vraiment.
Chacun a connu, lors de son enfance de multiples modes dans la cour de l'école, qui rendaient les gosses entre 5 et 10 ans presque élitiste, à se grouper et à distinguer la masse, de ceux qui étaient "à la mode ".
En effet, la mode vestimentaire n'a je pense encore guère d'attrait pour les jeunes enfants, qui préfèrent se tourner vers des accessoires, des petits élements customisables, ou des jouets inventifs.

J'ai souvenir d'une mode très ludique et qui monopolisait les garçons, rivalisant d'adresse pour ticker une pépite, un calot, ou encore une bille chinoise.
Les billes étaient en effet lourdes et belles à tenir en main, et quelle satisfaction éprouvions nous lorsque nous revenions de l'école, le sac lourd et pesant de merveilles.
Dans mon école primaire, elles furent rapidement interdites, puisqu'un petit malin trouve drôle de les lancer en l'air, ce qui causa un dégât qui fut le premier et dernier, le directeur n'ayant que trop apprécié le rond d'olive dans sa fenêtre, en plein mois d'hiver.

Qu'à cela ne tienne, les billes furent remplacées par une nouveauté : les pogs, sorte de petits cercles durs en cartons, avec des imprimés tels les héros de disney, ou les derniers dessins animés à la mode. Là encore, les pogs rares se différenciaient des simples unis.
La notion de rareté apparaît je le pense, la première fois dans les cours d'école, et tous le monde se met à la recherche de cette rareté, si insignifiante soit t-elle.
Le jeu avec les pogs consistaient à former une pile, et à ticker cette dernière dans l'espoir de faire tomber ceux du haut, qui étaient les plus brillants, et les meilleurs monnaies d'échanges.

Mais les pogs, ne durèrent aussi qu'un temps, et furent happés par la mode des scoubidous, ces noeuds ludiques et simples à faire. Chacun y allait de son scoubidou dans la cour, et les écoliers que l'on admirait le plus étaient ceux qui arrivaient à faire des hélicoptères, ou autres formes incroyables à mes yeux.

Vint ensuite, la mode des beyblades, sorte de toupies de combat, inspiré d'un dessin animé japonais du même nom. Les déclinaisons d'armures et de structure de toupies étaient infinis, et l'on se battait pour avoir les pièces qui permettaient d'achever la toupie adverse.
Le jeu consistait d'abor à mettre en place une arène, et deux adversaires s'affrontaient en lançant leurs toupies préalablement armé d'un disque ralentissant l'adversaire. C'était le début de la stratégie, puisqu'il fallait veiller à ne pas trop armer sa toupie, de crainte à ce qu'elle perde de sa vitesse et s'arrête la première.

Ce jeu coutant relativement cher, il ne dura que peu de temps dans la cour de récré.
Il fut suivi d'une mode qui allait ensuite se répéter : celle des cartes à jouer.
A vrai dire, nous nommions cela carte à échanger, car les règles du jeu étaient bien trop complexes ( construire un deck, le défausser, rajouter un Point d'Ex. ) 
Se sont donc suivis les cartes Pokémon, les cartes Yu gi Ho, et les cartes Magic.

Mais ces cartes dont l'univers étaient jugés trop sombres par les parents, et trop garçons par les petites filles furent délaissées à leur tour pour les Diddls.
Cette petite souris créa la plus grande émulation qu'eut connu la cour de mon école primaire.
Je me souviens que partout, l'on s'échangeait des feuilles Diddls, des crayons Diddls, ou encore des timbres ou des gommes.
Bon nombre de mes amis arrivaient en cours de récré, les bras chargés de classeurs où elles rangeaient amoureusement leurs feuilles, qui étaient classées selons leurs catégories : senteur, fluorescente, rare ...ect.

Puis le passage au collège a balayé les modes , pour en créer de nouvelles. Mais qui dit passage au collège dit aussi début de l'adolescence. Les modes alors, sont devenues vestimentaires.
Les sacs derniers cris étaient les sacs Hello Kitty, que toutes les filles In avaient. 
Puis les chaussures y sont aussi passées avec les premières converses, les premières bensimons.
Et enfin, les bracelets en forme d'animaux, qui furent à la mode lors de ma seconde.

Actuellement, gardant des enfants régulièrement, je sais que les modes sont aux séries américaine qui fleurent bon le Disney Channel. J'ai nommé Violetta, jeune adolescente qui chante en secret, et multiplie les conquêtes amoureuses
Un nouveau phénomène vient aussi d'apparaître, il s'agit des bracelets en noeuds élastiques, de différentes couleurs, venant des USA, ce bracelet appelé rainbow loom fait fureur ! 



En définitive, les modes évoluent, et nous apprennent de nombreuses choses . Une petite liste d'exemple :
La rareté ( Car les feuilles Diddls blanches, avec le i de diddle sans fioritures, venaient d'Allemagne , oui monsieur ! )
L'adresse ( Avouez que tirer en plein dans le mille, un calot oeil de chat plus gros que mon poing, c'est la class ! )
Le buzness ( échanger deux draco feu contre un dragon aux yeux bleus, sérieux hein ? )
L'instinct de la collection ( amassez, triez, contemplez, toutes ces cartes yu gi ho ... )











lundi 16 juin 2014

ELEGANCE - RETOUR SUR UN PRIX DE DIANE LONGINES 2014 / CHANTILLY

ELEGANCE - RETOUR SUR UN PRIX DE DIANE LONGINES 2014 / CHANTILLY 

Cette édition 2014 commençait mal, avec les grèves des trains et la mine atterrée de mes amis lorsque nous avons entendu la suppression de tous les Rer D.
Heureusement, par je ne sais quel miracle, un train a été mis à disposition, et nous avons tous pu partir dans les temps, au grand soulagement de la centaine de personnes qui commençaient à errer au sein de la gare du Nord.

Cependant, une péripétie n'arrivant jamais seule, nous nous sommes rendus au domaine de Chantilly, pour constater une fois sur place la queue monstrueuse qui commençait à faire un escargot...(ça nous a fais rire, t'en qu'à faire ! ) . 
Il y a en effet depuis cette année une nouveauté mise en place par France Galop, l'entrée est devenue payante pour tous le monde, y compris les femmes chapeautées. 
C'est bien dommage, même si l'on peut comprendre que l'affluence record de l'an dernier les a sans doute un peu dépassé. Cependant, ce n'est pas une raison pour ne pas avoir de scanner !  Car chaque personne devait présenter son billet, et se le faisait déchirer par un membre de l'équipe d'accueil. Résultat : un temps d'attente qui n'est pas des  plus confortable.
Et je ne parle même pas de la file d'attente interminable pour la billeterie!

Enfin, bref, une fois arrivé sur place nous nous sommes enfin posé sur la pelouse pour commencer notre pique nique.
Bonne ambiance et concert avec la voix de suave de Julien Doré, nous ont permis de bien digérer ! La course du Prix de Diane fut comme toujours très appréciée par le public, et les vivas de la foule ont couronné la victoire d'Avenir Certain, monté par le jockey Gregory Benoist. 
Cette année, France Galop avait mis en place un village de Diane ( l'accès était payant ) avec de nombreuses surprises pour les spectateurs comme un stand d'essayage de chapeaux, ou encore un boudoir, pour se prendre un petit moment de détente.

Voici le petit reportage photo effectué pendant cette fabuleuse journée d'élégance et de sport ! 

Photos Prix de Diane Longines 2014 / Non libre de droit / Tous droits réservés à AlbanedeC.